A Béziers, dans l’Hérault, 7 employés des plateformes de services, courrier et colis des villes d’Agde, Vendres et Perpignan ont suivi une formation Sauveteur Secouriste du Travail (SST). Elle se déroulait pendant 2 jours, les 29 et 30 avril derniers. A son issue, les 7 facteurs ont obtenu leur diplôme. Ils sont désormais aptes à intervenir pour :
- porter secours à toute victime d’un accident du travail ;
- participer à la présentation des risques professionnels dans leur entreprise.
Il s’agit donc d’une formation très complète et utile, qui est d’ailleurs au catalogue de Stoporisk, une filiale de notre société Matecir Defibril spécialisée dans le conseil et la formation en Santé et Sécurité au Travail.
Une formation au secourisme dispensée par leur employeur
Les objectifs de cette formation SST sont nombreux :
- apprendre à intervenir efficacement lors de situations d’urgence ;
- adopter le bon comportement pour prendre en charge un accident sur le lieu de travail ;
- savoir repérer les situations dangereuses en entreprise ;
- participer à la mise en œuvre des actions de prévention et de protection des risques professionnels.
Lorsqu’elle est validée par les participants, comme ce fut le cas les 29 et 30 avril, un certificat de sauveteur secouriste du travail leur est remis. Il est valable 24 mois et pour le renouveler, il faut suivre une formation de recyclage, qui permet le maintien et l’actualisation des compétences.
Deux jours pour devenir Sauveteur Secouriste du Travail
Ces 7 facteurs ont suivi cette formation SST pendant 2 jours, soit 14h. Elle comportait deux parties :
- la première se concentrait sur la prévention des risques professionnels ;
- la seconde sur les interventions en cas d’accident du travail.
Travaillant à différents services, ils peuvent tous être confrontés à des accidents, des malaises, tant de leurs collègues que de clients. Les former était donc indispensable pour qu’ils apprennent les gestes à adopter lors de différentes situations d’urgence. Gestes qui peuvent également leur servir dans leur vie personnelle, comme l’a indiqué l’un des participants à un journaliste de Midi Libre.