Des initiations aux gestes qui sauvent lors de la journée la résilience à Clisson

Le samedi 12 octobre 2024, la commune de Clisson, en Loire-Atlantique, organisait sa troisième journée de la résilience. A cette occasion, un village éphémère était installé sur une place, avec différents stands. L’un d’eux était tenu par les parents d’élèves d’une école de la ville, qui sensibilisaient les habitants aux gestes qui sauvent en cas d’accident domestique. Ils étaient accompagnés par la police municipale, la protection civile et les pompiers, qui sont des professionnels formés aux premiers secours. Ensemble, ils ont présenté aux personnes intéressées les bons gestes à adopter lors de situations d’urgence, et leur ont donné quelques conseils pratiques.

Un stand pour sensibiliser aux gestes de premiers secours

Le stand des parents d’élèves de l’école de Clisson avait pour objectif de sensibiliser les parents aux gestes qui sauvent, en particulier lors d’accidents domestiques. Plusieurs situations étaient évoquées, auxquelles tous les parents peuvent être confrontés un jour. Par exemple, les participants ont appris à réagir face à une personne qui s’étouffe, à mettre une victime en position latérale de sécurité ou encore, à prévenir les tiques. Si le stand était tenu par les parents d’élèves, les séances de sensibilisation, quant à elles, étaient animées par une professionnelle de la protection civile.

Une formation PSC pour les parents d’élèves en février 2025

La municipalité de Clisson a profité de cette journée de la résilience le 12 octobre 2024 et de ce village éphémère pour annoncer une bonne nouvelle. En effet, en février 2025, une formation aux premiers secours sera proposée aux parents. Son coût sera de 60€, dont 10€ pourront être pris en charge par l’association des parents d’élèves de l’école. L’objectif de cette formation est d’apprendre à anticiper les blessures, et à gérer des situations d’urgence pour éviter de surcharger les urgences des hôpitaux, déjà bien encombrées.
En outre, ce jour-là, des flyers étaient distribués aux visiteurs du village éphémère, qui indiquaient les numéros d’urgence à contacter (Samu, pompiers, police secours et urgences).