Il y a quelques jours, les élus de la commune de Mont-lès-Seurre, Saône-et-Loire, ont suivi une séance d’initiation aux premiers secours. L’objectif était notamment de leur apprendre les gestes de base et de les familiariser à l’utilisation du défibrillateur. En effet, la mairie ayant installé un tel appareil sous son préau en début d’année, elle voulait que ses élus soient à l’aise avec son utilisation et puissent, en cas de besoin, s’en servir rapidement. Cette séance, dispensée par Fabrice Chevillard, responsable technico-commercial Bourgogne de notre société Matecir Defibril, a ainsi permis de les sensibiliser aux gestes qui sauvent. Par la suite, s’ils veulent compléter cette initiation, ils peuvent s’inscrire à une formation Prévention et secours civique de niveau 1 (PSC1).
Une séance pour découvrir les premiers secours
L’initiation aux premiers secours est une formation allégée qui dure entre 1h30 et 2h. Pour y participer, aucun prérequis n’est demandé. Il faut juste avoir au moins 10 ans. Au programme, plusieurs gestes sont évoqués : la protection, l’alerte, le massage cardiaque avec un défibrillateur et la prise en charge d’une victime inconsciente qui respire ou qui ne respire pas. Ce fut donc le cas à Mont-lès-Seurre où les élus ont pu s’entraîner au massage cardiaque sur un mannequin, et en savoir plus sur le fonctionnement du défibrillateur. Désormais, ils possèdent les connaissances nécessaires pour porter secours à une victime si un jour ils sont témoins d’un accident, d’un malaise cardiaque.
Une initiation dispensée par l’un des collaborateurs de notre société
La séance de Mont-lès-Seurre était animée par Fabrice Chevillard, qui en plus de travailler au sein de notre équipe, est chef de corps de la caserne des pompiers de Varennes-le-Grand. Les premiers secours et le défibrillateur n’ont donc aucun secret pour lui. En Saône-et-Loire, il intervient d’ailleurs régulièrement pour initier aux gestes qui sauvent des élus locaux, des habitants. Ces séances lui permettent donc de partager ses connaissances, son expérience et de rappeler aux participants qu’une intervention rapide – dans les premières minutes – auprès des victimes d’un malaise cardiaque augmente les chances de survie.