Dans la Manche, des élèves et enseignants d’une école et d’un collège ont profité des vacances d’hiver pour suivre une formation Prévention et secours civiques de niveau 1 (PSC1). Pendant une journée, ils ont participé, sur la base du volontariat, à des ateliers mêlant théorie et pratique. Mise en place par les deux établissements, cette formation répondait à deux objectifs :
apprendre aux participants les gestes de premiers secours ;
inciter tous les élèves et le personnel à se former.
Elle a été encadrée par deux professeurs, formés et qualifiés, qui ont suivi le programme PSC1. A l’issue de cette journée, tous étaient ravis de leur participation.
Une formation PSC1 pour une cinquantaine de personnes
Cette formation PSC1 a rassemblé 54 volontaires : 44 élèves de quatrième et 10 enseignants. Proposée par les encadrants de deux établissements scolaires de Saint-Hilaire-du-Harcouët et des Loges-Marchis dans la Manche, elle a permis aux participants d’apprendre à réagir dans différentes situations dont :
- des brûlures ;
- des blessures avec une hémorragie ;
- des coupures ;
- un malaise ;
- un étouffement ;
- un arrêt cardiaque ;
- une évacuation d’urgence à cause de la présence de fumées toxiques …etc.
Cette formation devait :
- familiariser les participants avec les premiers secours, pour qu’ils puissent réagir correctement en cas de besoin ;
- faire face à des accidents, des imprévus tout en gardant leur sang-froid.
Une journée concluante pour tous les participants
Lors de cette formation, de nombreux exercices pratiques étaient au programme. Chacun leur tour, les participants jouaient le rôle de la victime ou du secouriste. Ils ont ainsi appris à pratiquer un massage cardiaque et à utiliser un défibrillateur sur un mannequin. Deux gestes essentiels, à prodiguer dans les premières minutes qui suivent un arrêt cardiaque pour augmenter les chances de survie d’une victime.
Pour les 54 volontaires, cette journée a été très intéressante : « tous ont été heureux d’acquérir et de pratiquer les protocoles de soins d’urgence », comme l’a indiqué l’un des professeurs formateurs au journal La Gazette.