A Gaillon, dans l’Eure, 22 élèves du collège Georges d’Amboise ont participé à une formation aux gestes qui sauvent. Organisée sur la base du volontariat, elle était dispensée par une professeure d’’éducation physique et sportive (EPS), formée à cette occasion. Pendant plusieurs séances, les collégiens ont appris les gestes de premiers secours et ont participé à des exercices concrets. A l’issue de ces cours, tous ont obtenu leur diplôme PSC1 (Prévention et Secours Civiques de niveau 1), qui leur a été remis par la professeure d’EPS et la principale de l’établissement. Une réussite pour eux, et le collège qui prévoit déjà de reconduire l’expérience en juin 2024 avec des élèves actuellement en 4ème.
Des élèves volontaires pour apprendre les premiers secours
Au collège, les élèves de 6ème sont sensibilisés aux gestes qui sauvent. Ils bénéficient donc d’une première base, qu’ils peuvent compléter en suivant d’autres formations. A Gaillon, dans le collège Georges d’Amboise une formation PSC1 était proposée aux volontaires. 22 ont souhaité y participer et ont ainsi pu approfondir leurs connaissances et leurs compétences. Au programme de cette formation, différents gestes et situations dont :
– la protection ;
– l’alerte ;
– la prise en charge d’une victime inconsciente, ou qui ne respire pas, ou qui se plaint d’un malaise ;
– la réalisation d’un massage cardiaque et l’utilisation d’un défibrillateur.
Au total, les cours duraient une dizaine d’heures et se déroulaient au collège.
Des cours alliant théorie et pratique animés par une prof d’EPS
Pour cette formation PSC1, les collégiens ont été accompagnés par une professeure d’EPS. Cela leur a permis de se familiariser avec différentes situations d’urgence, et d’apprendre à réaliser des gestes simples, qui peuvent sauver des vies. La partie théorique a d’abord été abordée lors des cours, avec une présentation des gestes qui sauvent. Puis, les élèves ont participé à des cas pratiques, avec des mises en scène. Tous ont été diplômés, et ont trouvé cette formation intéressante et enrichissante, comme ils l’ont expliqué au journal L’impartial, car ils ont « appris à faire face à l’urgence » et à « reconnaître les problèmes pour bien réagir ».